Tous les hourdis de la dalle séparant le sous-sol du ré de chaussée ont été posés.
Le coffrage est en train d'être terminé et le béton va bientôt être coulé!
Pour voir toutes les photos prises ce lundi matin 20 février 2006 cliquez ici.
Tous les hourdis de la dalle séparant le sous-sol du ré de chaussée ont été posés.
Le coffrage est en train d'être terminé et le béton va bientôt être coulé!
Pour voir toutes les photos prises ce lundi matin 20 février 2006 cliquez ici.
Les fondations du mur Nord ont commencé et il a fallu décaisser un petit peu de terre.
Les ouvriers ont alors eu l’idée de combler le virage avec cette terre toute fraîche. Cela aurait pu être une bonne chose mais il s’avère que le bout du virage empiète légèrement chez les voisins peu commodes.
Ils avaient déjà auparavant refusé d’agrandir le virage et c’est pourquoi il me semble qu’ils risquent d’être légèrement mécontents… Cependant il y a fort à parier que le ruissellement des pluies d’octobre enlèvera une partie de ce tas de terre et les massifs ronciers reprendront très certainement leur place initiale. Espérons donc qu’aucun conflit ne va naître !
Les murs sont trop hauts :-(
Ils ont oublié la dalle du premier étage, du coup, il faut casser le dernier niveau de parpaings au marteau piqueur, allez au boulot!!!
Sur la photo ci-dessus vous pouvez apercevoir qu'une partie du mur Nord à déjà été détruite afin de couler la dalle à 2m60 du sol.
Ci-dessous, un ouvrier en train de réparer l'erreur:
Pour voir l'ensemble des photos prises ce mercredi 8 février 2006, cliquez ici.
Le chantier progresse à vue d'œil!
Je l'avais vu pour la dernière fois vendredi matin (Avant l'excellent concert de Mylène Farmer) et je le retrouve aujourd'hui (4 jours ouvrables plus tard) métamorphosé!! Je suis aussi surpris par les interstices laissés entre les parpaings ou briques (je sais pas):
La dalle a été posée et les murs sont en train d'être construits:
Je trouve d'ailleurs ça étonnant que ces derniers ne soient pas parfaitement rectilignes, mais n'y connaissant en rien en construction, j'imagine que le niveau se fait à la fin...
J'ai pris les photos ce jeudi 02 Février 2006 au matin à 8H00 et j'ai ainsi pu assister à la livraison des briques isolantes de la façade Nord:
On comprend alors la nécessité d'une grue sur un tel chantier!
Pour voir la cinquantaine de photos prises ce jour, cliquez ici.
Pour construire « la luciole », il faut un hérisson ! Qui l’eût cru ? Le premier hérisson de ma vie de citadine était une boule de piquants caressants, il se tenait immobile, à l’orée de tous les dangers, il sentait la mousse des bois et respirait les vagabondages de la nuit… Pourtant Christiane l’avait déposé dans le petit lit en plexiglas de Romain ! Une photo, en noir et blanc, les montre tous les deux : Romain ! 2 ou 3 jours à peine ! Il dort à poings fermés et le petit hérisson s’est attardé à ses côtés, comme un allié ! Jean-Pierre a surpris leur rencontre ! 5 ans plus tard, les vacances nous avaient conduits en Corse. A Olmi-Capella, l’air était doux et la nuit comme un voile de soie. Ce soir-là, devant la porte de la maison, un hérisson semblait nous attendre, bien vivant et tout en boule ! Petit hérisson gris aux pattes sales, tu as soif et faim ! et il faut prendre des gants avec toi ! De ce moment, précieux et révolu, il reste une photo, qui mobilise la mémoire et déploie les émotions. Romain observe extasié… Ils existent donc vraiment ces petits êtres inquiets, dont les piquants se redressent pour éloigner les « monstres » qui aboient et les ombres grimaçantes, balayer les cauchemars et se protéger des mamans au double visage !.. Romain a 9 ans maintenant. Jean-Pierre - encore lui ! – vient de trouver un hérisson dans le jardin, aux Lucioles. La nuit est là, c’est une tendre nuit d’été , silencieuse mais remuante ! Les petits bruits du côté du tilleul sont ceux d’un hérisson, blotti au cœur des feuilles et des fleurs ! Le voilà dans la maison, coincé entre le dossier d’un canapé et le mur. Le « photographe » était là… La photo donne à voir ce canapé en osier, devenu depuis un banal meuble de jardin, battu par les pluies d’automne, éprouvé par les brûlures de l’été, mais qui trônait alors, dans toute sa splendeur, entre la fenêtre et la porte du salon ! C’est le visage de Romain qui me parle. Son visage « intact ». Clair , éblouissant, en attente du hérisson, qui, lui, se dresse sur ses pattes pour s’échapper : tout faire pour retrouver un petit creux de nature dans la torpeur du jardin endormi ! Malheur ! Jean-Piere et Romain se sont plongés dans la lecture de La Hulotte pour construire une cabane à hérisson : prévoir du lait ! dénicher la planche qui permettra le retour de l’explorateur, curieux de tous les bosquets secrets et les massifs touffus ! Je doute vraiment qu’ils soient parvenus à apprivoiser ce grand hérisson farouche ! Il est plus facile au ramoneur d’utiliser sa brosse métallique et au maçon de poser ses pierres « de chant » !